Dans quelques jours, Erik et moi-même repartons pour le Burkina Faso. Nous serons accompagnés de Nicolas, un ami qui s’implique dans le projet. Si nous nous rendrons à Bouassa avec grand plaisir, nous y avons des amis désormais dans le village, nous avons beaucoup d’autres activités là-bas. Des projets d’entreprises, de développement durable, d’économie solidaire. Mais tout cela, c’est une autre histoire et cela ne se fait pas dans le cadre de l’association ET’AL France. Mais, c’est pour dire que notre cœur pour ce pays, et d’autres encore en Afrique, ne se limite pas à Bouassa. En réalité, ce que nous faisons dans ce village, nous espérons bien pouvoir le dupliquer dans beaucoup d’autres villages.
Mais, bon, une chose à la fois !
Pour l’heure, nous attendons… C’est la phase de mobilisation financière la moins facile à vivre. Avant cela, le travail de montage de dossiers de financement nous imposait de rester focalisés, mais lorsqu’après plusieurs mois d’écriture, de calcul, d’études, etc. tout s’achève par un envoi vers les fondations avec qui nous sommes en relation, il ne vous reste que l’attente et l’espoir que le projet sera retenu… Et c’est long ! En effet, pour la plupart, les fondations prennent leur décisions pour les subventions au mois d’avril, mai et même pour l’une d’entre-elles, juin. Donc, maintenant, on patiente. On cherche d’autres sources de financements, au cas où. Et si on trouve, et que finalement, en juin on se retrouve avec plus que le budget initial, pas de problème ! On attaquera un autre projet de forage. Jusqu’à ce que…
Parce que nous croyons que…
La Solution :
UN PUITS PAR VILLAGE
Nous croyons que les gens, et pas uniquement l’eau, peuvent tout changer ! Lorsque vous parrainez le projet de forage au Burkina Faso, en Afrique, vous débloquez le potentiel de toute une communauté