Nous trépignons d’impatience, je vous le confesse !
Le 4 mai prochain se tiendra le Conseil Municipal de la Ville de Paris au cours duquel la décision de financer ou pas le projet de château d’eau et de latrines à Bouassa sera prise. Dans cette perspective, ces derniers jours nous avons été en contact régulier avec les personnes qui, au sein de la structure municipale, défendent notre projet. Il a fallu encore donner des précisions, compléter les dossiers, etc. mais nous croyons que cela en vaut la peine. Vendredi dernier, j’ai reçu un appel téléphonique d’une personne du Conseil Général de la Drôme m’annonçant que le CGD avait décidé de continuer l’aventure avec nous et donc de financer à hauteur de 4500€ le projet, comme pour la Phase 1 ! Une autre fondation a eu cette semaine sa réunion décisionnelle et maintenant nous attendons sa réponse. Ceux qui ont défendu notre projet étaient très convaincus du bien-fondé de notre approche et espéraient de tout cœur que nous serions financés à nouveau, puisque cette fondation avait déjà financé le forage l’an dernier.
Bref, nous nous prêtons à rêver que d’ici la fin de cette année le château d’eau sera construit, les latrines seront en fonction, que nous aurons eu un premier séminaire de sensibilisation et de formation (prévu en septembre) et que quelques femmes du quartier auront pu semer et voir leurs premiers légumes arriver pour leur famille et pour la vente au marché…
Le petit marché de Bouassa. Bientôt de nouveaux stands ?
Par ce que nous croyons que…
La Solution :
UN PUITS PAR VILLAGE
Nous croyons que les gens, et pas uniquement l’eau, peuvent tout changer ! Lorsque vous parrainez le projet de forage au Burkina Faso, en Afrique, vous débloquez le potentiel de toute une communauté.