« La bonne de nouvelle » : la porcherie est financée et les fonds devraient parvenir au Burkina dans les prochains jours ! C’est vraiment une belle étape pour le projet de développement du village de Bouassa et nous sommes vraiment reconnaissant à l’association belge qui s’est engagée derrière ce projet.

Sur les trois prochaines années, ce sont en principe, 90 jeunes qui vont être formés et qui démarreront leur propre projet de porcherie dans les villes et villages alentour avec un petit cheptel de départ et de quoi construire une petite porcherie.

« La moins bonne de nouvelle » : la fondation qui s’était engagée à financer le château d’eau, après des mois de travail et de dossiers constitués, pour une raison qui nous reste assez étrange, a décidé de se retirer du projet. Résultat, il faut repartir à la recherche de partenaires qui voudront bien soutenir notre initiative. Le château d’eau demeure vraiment clé dans le projet global que notre association ET’AL, avec l’association locale Réhobot, porte depuis 2014. Nous n’allons pas lâcher facilement !

« Encore une de nouvelle » : Un ami, ingénieur agronome, spécialiste de l’agriculture familiale en économie d’eau, va se rendre au Burkina dans les prochains, jours et ira à Bouassa pour y effectuer un premier diagnostic en vue d’élargir nos actions de formation et de mise en place de ces mêmes jardins familiaux dans les bas-fonds du village.

Une première idée : lors d’une rencontre fortuite à Paris avec l’ancien maire de Bouassa de passage dans la ville, et en relation avec un ami très engagé dans le projet de développement de Bouassa, nous étudions à présent, la possibilité d’électrifier par du photovoltaïque, des bâtiments ou lieux importants. Comme par exemple le collège, le dispensaire et même la petite place où a été implantée la Pompe à Motricité Humaine.

Une deuxième idée :  cela fait quelques temps que nous réfléchissons à une démarche permettant de plus mobiliser notre réseau pour des dons manuels en vue de soutenir des petits projets associés aux aspects plus importants. Comme par exemple les repas à la centaine d’enfants que la petite paroisse protestante essaye de soutenir, la briquèterie que quelques jeunes sans emploi aimeraient démarrer. Il y a encore l’accompagnement à l’hygiène que deux dames aimeraient organiser dans le quartier et comme elles sont du métier, prodiguer des soins de base. Pour cela, il leur faudrait une petite pharmacie, mais aussi de quoi acheter du savon, des brosses à dent, etc.

Et hier, justement, en discussion avec une amie, il a été convenu de mettre en place des personnes relais qui pourraient, si elles le souhaitent, organiser de temps à autres une communication auprès de leur propre réseau relationnel, faire venir l’un d’entre nous pour expliquer plus en détail la démarche et finalement, organiser des collectes de dons pour continuer à soutenir le développement de Bouassa.

Vous seriez intéressés ? Faites nous le savoir et nous vous appellerons pour parler des détails.

Parce que nous croyons que…

La Solution :

UN PUITS PAR VILLAGE

Nous croyons que les gens, et pas uniquement l’eau, peuvent tout changer ! Lorsque vous parrainez le projet de forage au Burkina Faso, en Afrique, vous débloquez le potentiel de toute une communauté.

Les objectifs du projet Bouassa :

  1. Favoriser l’accès à l’eau de la population du quartier
  2. Aider des familles et des enfants en grande précarité
  3. Développer des activités économiques et de développement en relation avec l’accès à l’eau
  4. S’inscrire dans le Plan de Développement de la Commune
  5. Sensibiliser la population à une gestion économique de l’eau et à l’assainissement
  6. Accompagner les enfants pour une meilleure hygiène corporelle